Jeudi 10 février – Malgré la menace
À l’heure des sondages, nous avons perdu au moins 10 % aujourd’hui. Au retour, la côte de l’Epan nous tendait les bras, pourtant. Après avoir hésité (très peu), nous avons respecté le parcours et l’avons dédaignée. Que des bons élèves, dans ce groupe !
Donc, nous avons jaugé du bas la fameuse côte, naguère empruntée par les coureurs de Paris-Tours, propice aux attaques qui désignaient le futur vainqueur avenue de Grammont.
Auparavant, un chantier situé route de la Vieille Carte (en limite de Joué et Ballan), appuyé par une grue de belle taille au caractère dominant, nous avait obligés à une déviation de 3 kilomètres.
Qu’à cela ne tienne, la bonne humeur du groupe n’en sera pas entachée, nous n’aurons pas besoin d’aller nous rasséréner chez l’herboriste de Vallères.
Brigitte, Jean-François, Alain, Régis, Philippe D., Denis et Thierry ont effectué le parcours sans une goutte de pluie, malgré une menace permanente.
THIERRY
Pour un peu, ils montaient l'Epan. Sans recourir au miracle des plantes.
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