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Jeudi 14 septembre - Rendez-vous à Louans

Mardi on boude, jeudi on roule. Quatre au rendez-vous mardi, vingt-quatre aujourd’hui, aimantés par le retour du soleil. Rien de tel pour susciter le retour sur le vélo. Ainsi, bonne nouvelle, Jean-Luc et Philippe L. sont de la partie. L’infirmerie se vide…

Séparation en trois groupes. Raisonnables, Catherine C, Maryse, Nelly et Odile optent pour la boucle de 46 kilomètres vers Saint-Branchs.

L’option de 66 kilomètres vers « le Carroir-Jodel », non loin du Louroux, séduit onze cyclos, majorité féminine : Agnès, Christine C., Liliane, Marie-Françoise, Sylvie, Viviane, Benoît, Jean-Luc, Joseph, Philippe D. et Philippe L.

Oui, c’est un jour compliqué, les trois Philippe sont sur la route, Philippe V. accompagnant le groupe qui choisit la boucle jusqu’à Manthelan, un peu plus de 80 kilomètres. Avec lui figurent Brigitte, Alain, Denis, Didier, Jacki, Laurent, Thierry (qui rejoint le groupe à Veigné) et François.


Une crevaison judicieuse

Après-midi sans autre histoire que celle qui confère à Louans, pendant une vingtaine de minutes, un petit air de capitale du cyclotourisme tourangeau ! Cela grâce à un brutal éclatement de pneu net, franc, spontané, sans bavure, le pneu arrière d’Alain. Le changement de chambre à air (avec apport d’un emplâtre, histoire de colmater la coupure du pneu) réclame un coup de mains, une bonne demi-douzaine de mains pour tout remettre en place. Vingt ou trente années encore à la FFCT, rythmées par des stages annuels de mécanique, même pilotés par Joseph, ne nous permettront jamais de maîtriser la technique du montage de pneumatiques sur ces jantes hautes. Conseil avisé d’un technicien : ne crevez pas.

Louans capitale cyclo, donc : tandis que le premier groupe répare, un fort bataillon de l’UC Touraine fait halte à son tour à deux pas du clocher de Louans. C’est qu’on trouve là, près de la mairie, un w.-c. public. Alain – merci à lui – a « éclaté » tout près du précieux édifice. On répare, on cause, et l’on reçoit bientôt le renfort d’un nouveau groupe, le deuxième peloton saint-avertinois. C’est la foule !

Ensuite, Alain s’abstient de tout nouvel éclatement, et dans son groupe on ne recensera pas d’événement notable. Ça roule paisiblement. Sauf à la sortie de Saint-Bauld où, au pied de la petite bosse qui conduit à Montouvrin, Brigitte pose une mine, une de ces accélérations qui vous invitent à la modestie et vous interdisent de crâner sur un vélo pendant un bon moment. Pendant vingt ou trente années peut-être, ça laisse le temps de se perfectionner dans le remontage des pneus sur jantes carbone.


Au départ du Centre Henri-Depierre. - Jeu de mains à Louans.



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