Jeudi 18 mars - Elégance, ambiance
Sans légende.
Agnès : "5 filles 2 garçons , rien d'extraordinaire ! Un de trop ?"
C'est 6 maximum, compte tenu des règles anti-Covid. Le groupe prend donc ses dispositions. Agnès poursuit : "Joseph emmène le groupe tranquillement, et nous demande de partir devant. Il va nous rejoindre. Suite à une petite erreur de parcours, Joseph repasse devant nous, on l'aperçoit finalement sur le pont. Avec nos douces voix, on le hèle d’en bas !
Faisant semblant de nous attendre, on le retrouve assis à l'abribus, en compagnie de Benoît. Une affiche attire l’œil (photo ci-dessus).
Ils sont modestes nos deux cyclos, ils se trouvent beaux étalons ! Nos étalons sont-ils des pur-sang ? Si on regarde bien, Joseph demande une réduction de 20 %, et Benoit se tourne vers l'élégance ! Non, vous n'aurez pas tous les commentaires qui ont suivi cette séance de pose !
Peu importe les kilomètres d’aujourd’hui, bonne ambiance, on a bien rigolé. C'était une superbe balade."
Le "couloir des Caves à Goûter"
Balade presque sans une goutte d'eau, que les deux groupes ont bouclée en même temps. On a assisté aux rentrées d'Odile et de Benoît, après "coupure hivernale".
On a été témoins de l'échappée finale de Michel G. et Philippe que la distance et la dénivelée laissaient sur leur faim. Ils ont à l'arrivée choisi de redescendre dans la vallée et de remonter sur le plateau, des Graviers au Placier. Forme olympique ! D'autant plus impressionnante qu'ils ont choisi pour voie d'ascension la rue des Caves à Goûter, au terrible revêtement. Ne pas confondre avec le couloir du Goûter, sinistre passage vers le sommet du mont Blanc, redouté de tous les alpinistes. Chapeau bas, donc.
On comptait au rendez-vous Agnès, Marie-Christine, Maryse, Odile, Viviane, Benoît, Denis, Jean-Luc, Joseph, Michel G., Michel R., Philippe et François.
À l'avant, rien de nouveau sous le soleil (ou ce qui en tenait lieu ce jeudi) : il se forme toujours un quatuor terrifique dès que la route se redresse. À chaque fois que Denis, Jean-Luc, Michel R. et Philippe lèvent les fesses de la selle pour se mettre en danseuse, leurs roues arrière projettent une pluie de gravillons arrachés à la chaussée.
Par peur du danger, leurs camarades préfèrent monter les bosses loin derrière. Pure raison de sécurité.
Aux Aubuis, à bonne distance les uns des autres...
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