Mardi 30 janvier - Un départ en fanfare
Du monde au départ. Nous sommes 24. C'est bien, si l'on sait qu'ici on s'est abstenu pour cause de jardin à entretenir, là parce qu'il faut récupérer du décalage horaire au retour de Thaïlande... On en passe.
Au départ : Agnès, Brigitte, Catherine R., Eliane, Françoise T., Laurence, Liliane, Marie-Christine, Maryse, Alain, Denis, Didier, Gilles, Jacki, Jean-François F., Jean-Luc D., Jean-Luc G., Jean-Pierre LB, Laurent, Patrick, Philippe D., Stéphane, Thierry et François.
Cette foule trouble le groupe Rando, qui s'engage dans la direction opposée à celle prévue. Avec toute cette informatique dont on nous rebat les oreilles, peut-être pourrait-on inventer des parcours qui s'afficheraient sur un écran, qu'on pourrait transmettre sur un écran plus petit qu'on installerait sur le guidon du vélo. On baptiserait cela "gros plan sympa", ou GPS.
Un tel matériel, s'il existait, éviterait de prendre la rue Jean-Perrin à Chambray pour la rue Joliot-Curie à Saint-Avertin. Comme si le dossier de la circulation entre les deux communes avait besoin de complications supplémentaires...
Une démonstration
Dans le cas qui nous occupe, des voix s'élèvent et des conseils fusent, qui permettent de renvoyer le groupe Rando vers le Nouveau Bois plutôt que vers Chambray. Sous l'oeil goguenard du groupe Balade.
Les deux groupes deviennent trois. Dans le groupe Balade, Agnès livre deux informations prioritaires : il est question du nouveau Liv qu'étrenne Maryse. Elle est "ravie", dit Agnès. Et Gilles, ajoute-t-elle, "a été excellent en chef de file".
Le troisième groupe est "celui du milieu", sur le grand parcours, à allure raisonnable, sous la conduite de métronome de Denis. Il n'y a pas de Liv dans ce groupe, mais deux nouveaux Orbea, ceux de Brigitte et Laurent.
Laurent a équipé le sien d'un feu rouge dont il fait l'éloge : feu rouge fixe, feu rouge clignotant (deux vitesses), allumage lors des freinages, alarme très sonore. Lors d'une halte entre Thilouze et Pont-de-Ruan, Laurent en fait la démonstration. Lorsqu'il fait mine de voler son propre vélo, une alerte stridente, épouvantablement dissuasive, se déclenche. Cela oblige le groupe à déguerpir, de crainte d'être poursuivi par tout le voisinage.
Au passage, l'expérience permet de s'interroger sur l'intelligence de ce système d'alarme, incapable de faire la différence entre Laurent, propriétaire du vélo, et un vrai voleur.
Aux Aubuis. - Démonstration de l'alarme vélo. - Le groupe Balade fait halte.
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